
Innovation
Du « processus de création destructrice » théorisé en 1912 par l’Autrichien Joseph Aloys Schumpeter jusqu’à « l’innovation disruptive » modélisée depuis 1995 par l’Américain Clayton M. Christensen, les méthodologies gagnantes de l’innovation ont marié nouvelles technologies et nouveaux modèles économiques…
Du « processus de création destructrice » théorisé en 1912 par l’Autrichien Joseph Aloys Schumpeter jusqu’à « l’innovation disruptive » modélisée depuis 1995 par l’Américain Clayton M. Christensen, les méthodologies gagnantes de l’innovation ont marié nouvelles technologies et nouveaux modèles économiques…Le message est clair : rester dans la course de l’économie globale signifie écraser l’accélérateur de l’innovation sous peine de disparaître. Or, dans la vie concrète, l’innovation peine chaque jour à se tailler sa place au soleil.
« Toutes les grandes idées ont été marquées au fer rouge du mot « Rejeté » »
« Le phénomène est à la fois psychologique et économique : à mesure que les innovateurs et leur entreprise réussissent, ils ont davantage à perdre. Pas question que de nouveaux rêves mettent en danger ce qu’ils ont mis des années à bâtir. Leur talent ne s’est pas évanoui. C’est leur centre d’intérêt qui a changé. »…